Puerto Cabello

Coordonnées: .mw-parser-output .geo-default, .mw-parser-output .geo-dms, .mw-parser-output .geo-dec {display: inline } .mw-parser-output .geo-nondefault, .mw-parser-output .geo-multi-punct {display: none} .mw-parser-output .longitude, .mw-parser-output .latitude {espace blanc : nowrap} 10 ° 28'00 "N 68 ° 01'00" W / 10,46667 ° N 68,01667 ° W / 10,46667; -68.01667

Puerto Cabello (prononciation espagnole: (écouter)) est une ville sur la côte nord du Venezuela. Il est situé dans l'État de Carabobo, à environ 210 km à l'ouest de Caracas. En 2011, la ville comptait environ 182 400 habitants. La ville abrite le port le plus grand et le plus fréquenté du pays et constitue donc un rouage vital dans la vaste industrie pétrolière du pays. Le mot «cabello» se traduit par «cheveux». Les Espagnols ont pris l'habitude de dire que la mer y était si calme qu'un navire pouvait être attaché au quai en l'attachant avec un seul cheveu.

Table des matières

• 1 Climat
• 2 Histoire
• 3 Tourisme
  • 3.1 Attractions
• 4 Autochtones
• 5 Transport
• 6 Industrie
• 7 Économie
• 8 Voir aussi
• 9 Références
• 10 Liens externes

• 3.1 Attractions

Climat

Histoire

La date de fondation de Puerto Cabello n'est pas connue bien que son nom ait été documenté pour la première fois sur la carte de la province de Caracas préparée en 1578 par Juan de Pimentel.

L'emplacement de Puerto Cabello en faisait une proie facile pour les boucaniers et était un poste de traite populaire pour les Néerlandais contrebandiers au 17e siècle. La majeure partie du commerce de contrebande consistait en cacao avec l'île voisine de Curaçao, colonisée par les Néerlandais. Puerto Cabello était également à cette époque sous contrôle néerlandais.

Ce n'est qu'en 1730 que les Espagnols ont repris le port, après que la Real Compañía Guipuzcoana ait emménagé. Cette société a construit des entrepôts, des quais et un ensemble de forts pour protéger le port.

Pendant la guerre de l'oreille de Jenkins, Puerto Cabello était le port de carénage de la Compagnie, dont les navires avaient grandement aidé la marine espagnole à transporter des troupes, des armes, des magasins et des munitions d'Espagne à ses colonies, et sa destruction fut un coup dur pour la Compagnie et le gouvernement espagnol. Le commodore Charles Knowles aux commandes du HMS Suffolk de 70 canons en 1743 reçut l'ordre de mener des attaques contre les colonies espagnoles de Puerto Cabello et de La Guaira. Le gouverneur espagnol Gabriel de Zuluaga, bien informé des plans, recruta des défenseurs supplémentaires et acheta de la poudre aux Néerlandais. En conséquence, lors d'une attaque sur La Guaira, le 18 février 1743, la flotte anglaise fut repoussée par les défenseurs. Knowles a retiré ses forces et réaménagé à Curaçao avant de tenter un assaut sur Puerto Cabello le 15 avril, puis de nouveau le 24 avril, mais les deux agressions ont été repoussées. Knowles annula l'expédition et retourna en Jamaïque.

Dans les années 1770, Puerto Cabello était devenue la ville la plus fortifiée de la côte vénézuélienne. Le château de San Felipe et la forteresse de Solano restent de l'époque. La frégate Santa Cecilia (ancien HMS Hermione ), sous le commandement du capitaine Don Ramón de Chalas, a siégé à Puerto Cabello jusqu'au capitaine Edward Hamilton, à bord du HMS Surprise , l'a coupé du port le 25 octobre 1799. Les pertes espagnoles comprenaient 120 morts; les Britanniques ont fait prisonniers 231 Espagnols, tandis que 15 autres ont sauté ou sont tombés par-dessus bord. Onze des hommes de Hamilton ont été blessés, quatre grièvement, mais aucun n'a été tué. Hamilton lui-même a été grièvement blessé.

Les forces de la Première République du Venezuela ont brièvement tenu le château de San Felipe. En 1812, Simón Bolívar, alors colonel des forces indépendantistes, fut nommé commandante de Puerto Cabello. Il est parti après qu'une rébellion royaliste a éclaté. En 1821, les Espagnols se sont retirés au château après leur défaite lors de la bataille décisive de Carabobo.

Puerto Cabello était le dernier bastion royaliste espagnol pendant la guerre d'indépendance du Venezuela, il a été capturé par José Antonio Páez le 8 novembre. 1823. Le port a subi une attaque anglo-allemande lors de la crise vénézuélienne de 1902–03 et, selon les rapports de presse, a été laissé en ruines.

En 1962, Puerto Cabello a été le site d'un soulèvement, connu sous le nom de El Porteñazo , par des officiers de marine pro-Fidel Castro, des marines et des membres des FALN. Bien que les forces navales loyalistes aient pu rapidement reprendre la base et arrêter les rebelles, elles n'ont pas été en mesure d'empêcher les marines d'occuper la ville et d'armer les forces pro-Castro. Malgré des embuscades et des combats sanglants de porte à porte, la fidèle Garde nationale et les forces régulières mécanisées ont pu reprendre Puerto Cabello.

Avec la crise en cours au milieu des pénuries alimentaires du 23 février 2019 qui, associée à des dommages économiques, l'aide qui était censée arriver au port a été refusée par la marine bolivarienne du Venezuela, menaçant de "ouvrir le feu" sur elle, forçant l'aide pour rediriger vers Porto Rico.

Tourisme

Attractions

• Cimetière protestant.
• Forteresse de Solano (partie de le parc national de San Esteban)
• Château de San Felipe.
• Long Island.
• Puente de Los Españoles (San Esteban Pueblo).
• Teatro Municipal

Autochtones

• Carlos Zambrano, joueur de baseball professionnel des Cubs de Chicago, est né ici.
• Pablo Sandoval, joueur de baseball professionnel des Giants de San Francisco, est né ici.
• Fernando Nieve, joueur de baseball professionnel des Mets de New York, est né ici.
• Víctor Moreno, joueur de baseball professionnel, est né ici.
• Félix Doubront, joueur de baseball professionnel pour les Cubs de Chicago, était b ou ici.
• Willson Contreras, joueur de baseball professionnel des Cubs de Chicago, est né ici.
• Bartolomé Salom, héros militaire de la guerre d'indépendance.
• José Altuve , joueur de baseball professionnel des Astros de Houston est né ici.
• Italo Pizzolante, poète, écrivain, compositeur, chanteur et ingénieur

Transport

Puerto Cabello est desservi par une station du réseau Instituto de Ferrocarriles del Estado.

Industrie

Les chantiers navals UCOCAR sont à Puerto Cabello et ont obtenu des contrats pour la construction de patrouilleurs pour le Venezuela Garde côtière.

Économie

Malgré le port autrefois très animé de Puerto Cabello, le trafic portuaire a disparu lorsque le prix du pétrole s'est effondré, ce qui a affecté le pays dépendant des importations payées par le haut prix du pétrole. Dans le cadre de la crise vénézuélienne, de nombreux citoyens les plus pauvres des «bidonvilles» de Puerto Cabello luttent maintenant pour se nourrir. Les citoyens font de longues files d'attente pour acheter des produits d'épicerie prescrits par le gouvernement et les (bolivers) actuels ont connu une dépréciation de près de 64% en mai 2017. En août 2017, le pourcentage de dépréciation atteignait 94%.